Honte !

Publié le par Lucette

A la Saint Léger, les femmes c'est sacré !

Bonjour aux RG, Gendarmes, Policiers, Douaniers, Journalistes, Agents du Fisc, Partis politiques et autres voyeurs de tout poil !...


Bonjour aussi à ceux qui ne passent jamais par là : mes parents, ma voiture, ma première cigarette et l’ours en peluche de ma tendre enfance.

 

 


276ème jour de l’année.


Pas d'humour aujourd'hui, ni au premier ni au second degré.

Le chiffre est effrayant. En 2007, les violences conjuguales ont causé la mort de 166 femmes en France, soit près d'une victime tous les deux jours

 
"En 2005 ou 2006, en France, 65.000 femmes et fillettes ont été mutilées ou menacées de l'être, et 410.000 femmes ont déclaré avoir été victimes de violences de la part d'un conjoint ou d'un ex-conjoint. Hors ménage, ce sont 260.000 femmes qui ont été victimes de violences sexuelles en 2005 ou 2006, dont 130.000 d'un viol"
chiffres extraits d'un rapport de l'Observatoire national de la délinquance.

 



Face à ces chiffres, nul doute que chacun d'entre nous a dans son entourage une victime de ces coups. Souvent sans le savoir. Parfois sans vouloir le savoir...

Stoppons cet honteux massacre !!
* en discutant plutôt que de laisser faire
* en soutenant plutôt qu'en jugeant

Et pour les victimes et/ou les témoins : 
téléphonez au 3919
ou aux services de Police ou de Gendarmerie


N'ai plus peur Lucette !

Publié dans coup de gueule

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M
je crois en effet que les chiffres ont augmenté surtout parce que c'est de moins en moins un sujet tabou et qu'il y a des structures "discrètes" qui savent soutenir les victimes de violence conjugale.car le temps que tout se mette en place, la victime se sent en danger car elle doit rester en présence de son "bourreau". et quand elle n'ose franchir le pas, ces structures leur offrent une aide psychologique tout aussi discrète afin que l'autre ne s'en rende pas compte. sauf qu'à force, la victime reprend de l'assurance.ces structures parlent aux victimes, que ce soit homme ou femme.après, pour les femmes qui accusent à tord comme dit champix: j'en ai déjà parlé sur mon blog. pour que la violence soit reconnue: il faut que ça aille "déjà" malheureusement assez loin. si elle ne peut rammener que des témoignages d'amis sans rapport d'un légiste, un juge mettra peut-être une réserve sur son jugement de divorce mais ça ne suffira pas pour faire pencher la balance. et le discours d'une victime n'est pas pareil que le discours d'une simulatrice bien heureusement
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F
J'avais prévu de faire un article sur ce drame, mais un peu surbooké, ce sera peut être pour la semaine prochaine.Le problème de ces femmes battues, qui souvent n'osent partir, ce sont les enfants et les ressources financières.Après, les "dérives", comme le remarque Champix, il y en a, certes, (et hélas lorsque les enfants sont un enjeux, les avocats sont balèzes pour ça !!), mais un homme qui tape sa femme, c'est un déchet de la société.
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M
Une femme ne doit jamais être battue ou subir des violences sexuelles quoi qu'elle ait fait. Bonne fin de semaine.Mado.
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C
Incroyable.  C'est beaucoup pour la France.  Enfin, un seul est un de trop.  Ici, c'est des centaines par jour si on compte les meurtres, viols, etc.  Le monde est devenu completement fou. Ou alors les mauvaises nouvelles sont vite repandues.Bises
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M
Sinon c'est intolerable, nous sommes d'accord sur le fait. Mais il y a toujours eu des sales cons qui ont violentées leurs femmes que ce soit physiquement ou moralement.Physiquement, tu peux arriver à le prouver par des examens médicaux.Moralement , c'est le pire je crois. c'est plus long mais tu fais de dégats bien plus monstrueux à force d'insultes, de dévolorisations.c'est pareil, tu dois avoir des femmes qui déclarent à tord des violences conjugales pour faire basculer dans un sens, un jugement de divorce. c'est un terrain très épineux.Et les maris qui se font foutre sur la gueule par bobonne. Stat qusi inexistante parce quec'est un peu la "honte" pour le mec d'aller deposer plainte pour violences conjugales. Et pourtant ça existe, personne ne peut le nier.
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